. — Les anneaux qui m’entourent, — les menottes qui mordent ma chair — m’empêchent d’avancer, — m’ont barré mon chemin ; — mes pieds sont liés, — mes mains emprisonnées. — Voilà où Dieu m’a confiné. » Puisqu’il n’y a rien à faire contre lui, c’est à sa nouvelle créature, à l’homme, qu’il faut s’en prendre ; à qui a tout perdu, la vengeance reste ; et si le vaincu peut l’avoir, il se trouvera heureux, « il reposera doucement, même sous les chaînes » dont il est chargé.