Ces livres, d’une gaîté si splénétique, répondent sans doute à un besoin du voyageur, de l’homme bien décidé à ne pas faire le moindre effort intellectuel, mais comme ils font regretter ceux que l’on oublie dans leur prison, ceux qu’on n’a pas le courage d’atteindre ! C’est que, précisément, sans effort intellectuel il n’est peut-être pas de plaisir possible. […] Elle est donc, en tant que route, bien inférieure aux plus, simples chemins, qui du moins n’ont pas de parti pris et nous mènent vraiment, avec le seul effort du mouvement, là où nous le désirons. […] Encore un effort et il la tenait !