C’est la divinisation dans l’homme de la bête, c’est l’accouplement des animaux sur toute la ligne, avec une technique d’expression chauffée au désir de produire de l’effet qui doit être le grand et peut-être le seul désir de M. […] Et, de fait, n’allez pas vous imaginer que cette mise à bas du veau soit simplement un dénoûment à effet scandaleux, un pétard d’antithèse allumé par un romantique puéril pour faire faire plus de train aux grossièretés et aux extravagances de son livre : vous vous tromperiez. […] Nous lui ferons l’effet de n’être pas, à ce jeune homme d’un relief immense… Il est tout cela, et il devrait en avoir l’orgueil, et la joie, et l’audace ; lui qui a l’audace des œuvres et du mot comme jamais homme ne l’eut avant lui, ni réaliste, ni brutaliste ! […] … Quand on publie des livres si hauts en couleur, on ne doit pas avoir peur de l’effet de sa couleur, son seul crime, à lui, dit M. […] Et déjà, dans une foule de livres que je pourrais nommer, il l’y avait prise… Mais il y était mêlé à des choses plus ou moins élevées, qui en atténuaient l’effet immonde.