Le drame commence. » C’est donc un drame ; et, en regard de cette première lettre, il n’y aurait plus qu’à placer pour plus d’effet cette autre lettre, la toute dernière, de la reine captive, « lettre encore tachée de ses larmes », et qui est aux Archives de l’Empire, où elle doit prochainement être exposée, dit-on, sous vitrine, aux regards des curieux.