La sirène semble lavée dans des eaux lustrales ; elle y attire l’imprudent trompé par leur transparence. […] — dit à Laïs une autre épigramme funéraire, — et voici que tu bois les eaux du Léthé ; que ton beau corps gît pressé par la terre. » — « Inexorable Pluton ! […] Ce corbeau, c’est le sculpteur Taupin, un vieux rapin misanthrope qui raconte son histoire en culottant sa pipe, une triste histoire, celle des liaisons vulgaires et des amours pêchées en eau trouble.