. — Ce qu’on appelle la jeune littérature clapotait dans un marécage aux eaux plombées, s’émouvait aux irisations de la pourriture. […] Destinés à représenter des états d’âme, ils sont pleins de palais mystérieux, de bassins dormants où chantent d’infatigables jets d’eau, de lauriers-roses, de magnolias, de cyprès et surtout de lys. […] On pourrait le comparer à un étang dans une clairière, où se mêleraient aux reflets de l’eau tranquille l’ombre mouvante des feuilles et l’or miroitant d’un rayon de soleil. […] Il y aborda, renouvela sa provision d’eau douce. […] Il lui restera, il est vrai, la ressource de se châtrer ou d’étrangler sa femme et de jeter ses enfants à l’eau… Et les Bourgeois se lamenteront, disant que la France se dépeuple.