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249. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « Lamartine »

Un matin qui s’éveille étincelant de joie… Sur une plage :     Et d’un sable brillant une frange plus vive Y serpente partout entre l’onde et la rive Pour amollir le lit des eaux. […] Une vapeur, une goutte d’eau suffit pour le tuer. […] dans l’espace, et si éphémère dans le temps, perdu dans l’humanité totale comme l’est une goutte d’eau dans la mer, et comme l’humanité l’est elle-même dans l’infini des mondes, le poète…. […] Car elles ne sont pas plus troublantes en vérité que les descriptions de la nature végétative, fleurs, fruits, feuillages, eaux souples ; ou, si elles le sont à la longue, elles le sont exactement de la même façon. […] se trompe-t-elle L’eau qui se précipite où sa pente l’appelle ?

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