Et je chante, et mes vers jaillissent comme des jets d’eau radieux dans un parc en fête. […] — Les yeux du pèlerin sont clairs comme l’eau des sources. […] Et cette eau vive ne tarira point tant que tu croiras en elle. […] L’Ermite mange ce qu’on lui donne. — Quand il est seul, il se nourrit de pain et d’eau. […] Sainte Angèle de Foligno boit l’eau dans laquelle elle à lavé les croûtes d’un lépreux ; des nausées la prennent ; elle se châtie en avalant une écaille que cette eau n’a pu entraîner et qui lui est restée dans le gosier à sec.