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233. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Première partie. Écoles et manifestes » pp. 13-41

« Il ne faut point qu’un poète fasse retentir dans les dures trompettes mugissantes, les bruissements doux de l’eau, des printemps, des fleurs. Mais le poète est lui-même cette pompeuse trompette qu’embouchent, tour à tour, les eaux et les fleurs. […] Le Blond s’enthousiasme pour cette phrase de M. de Bouhélier : « Une auberge embaumée et blanche, crépie à la chaux poudreuse sous les roses ; un moulin dont les ailes battent les eaux (!!!) etc. » Jusqu’à présent un moulin qui a des ailes était considéré comme un moulin à vent pour les moulins à eau, ils sont actionnés au moyen de roues à palettes.

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