On est obligé de marcher longtemps dans les ténebres, avant d’appercevoir des lueurs ; de se repaître de fumée, avant de trouver un peu de nourriture solide ; de s’engager dans un labyrinthe raboteux, avant de rencontrer un espace de chemin droit & praticable. […] D’ailleurs, c’est un bien encore que Mylord Shaftersbury est en droit de réclamer ; il ne faut que lire, pour s’en convaincre, les Œuvres de ce penseur Anglois, dont, par parenthese, on a donné une assez mauvaise Traduction.