Ils vécurent ainsi quelques années ensemble et Sakaye eut de la yébem trois enfants droits « comme un chemin »144 tous les trois et jolis comme des verroteries. […] (Les chemins indigènes ne sont rien moins que droits), je la transcris telle quelle.
Ils vécurent ainsi quelques années ensemble et Sakaye eut de la yébem trois enfants droits « comme un chemin »144 tous les trois et jolis comme des verroteries. […] (Les chemins indigènes ne sont rien moins que droits), je la transcris telle quelle.