Ainsi, il se retranchait volontairement la plus grande part de la matière ordinaire des romans et des drames. […] Ne peut-il tenir autant d’émotion, de trouble, de douleur, de faiblesse et d’effort, et de « drame » enfin, dans l’examen de conscience d’un catholique tenté que dans le monologue d’Auguste ou dans celui d’Hermione ? […] Le sacrement de pénitence est le ressort principal de l’action ; le drame tourne sur ce mot : Absolvo te in nomine Patris.