Les saints, penchés sur leurs nues, assistent, sous l’œil du divin poète, à un drame composé de quatre journées, et coupé d’intermèdes. […] Dans cet épilogue de quelques pages, il y a un nouveau drame, auprès duquel celui qui précède est vulgaire. […] Le premier drame avait des spectateurs ; celui-ci n’en a point et n’en peut point avoir ; les personnages le jouent devant eux-mêmes. […] De quel droit l’auteur a-t-il encadré dans son drame un autre Évangile que celui de Jésus-Christ ? […] N’y a-t-il donc point de vérité dans le drame d’Ahasvérus ?