J’en viens, par une pente toute naturelle, à songer que Balzac, lui aussi, a consacré deux tableaux de son drame universel à la Bohême littéraire. […] N’a-t-on pas vu, tout dernièrement encore, l’un d’eux gâter — d’une prose maniérée et pénible — ce beau drame de passion, Daniel Lambert ?