Dumas fils, (chose un peu inattendue), la préoccupation tragique des questions de morale dans les drames de l’amour. […] Il est, comme j’ai dit, en face de l’amour et de ses drames, aussi grave que M. […] Cela prend à certains moments, et en dehors de l’émotion que le drame lui-même peut inspirer, quelque chose de l’intérêt spécial et de la beauté propre d’une leçon d’anatomie. […] Ses romans (André Cornélis excepté) sont des drames de la conscience, des histoires de scrupules, de remords, de repentirs, d’expiations et de purifications. […] Qu’il continue de nous charmer, de nous toucher et de nous faire réfléchir ; qu’il continue d’être élégant, grave et languissant, de nous dessiner d’exquises figures de femmes (comme Thérèse de Sauves, Hélène Chazel et les deux Marie-Alice, ou comme Hubert Liauran, cette douce petite fille) et d’étudier les drames de la conscience dans l’amour.