. — L’Aiglon, drame en six actes, en vers (1900). […] Nous allons donc être débarrassés et des brouillards scandinaves, et des études psychologiques trop minutieuses, et des brutalités voulues du drame réaliste. […] Il est inouï qu’un drame captive et éveille l’attention sans amour, sans intrigue, avec la seule beauté des caractères et des pensées, avec la magie des vers.