Le drame commence. » C’est donc un drame ; et, en regard de cette première lettre, il n’y aurait plus qu’à placer pour plus d’effet cette autre lettre, la toute dernière, de la reine captive, « lettre encore tachée de ses larmes », et qui est aux Archives de l’Empire, où elle doit prochainement être exposée, dit-on, sous vitrine, aux regards des curieux. […] Feuillet de Conches, je ne puis mieux faire que d’exprimer publiquement le regret que je lui ai témoigné à lui-même : « J’ai regret, lui ai-je dit en terminant et en brisant des relations qui m’avaient été agréables, qu’une Collection aussi considérable, aussi précieuse que la vôtre, un si riche Recueil, contienne un début et une mise en train de drame, qui demeurent à bon droit suspects. » Il sera question encore de Marie-Antoinette dans les volumes suivants, à l’occasion des publications de M. d’Arneth.