Mais la même lettre parle de ses « débuts dans la littérature dramatique qui n’a commencé qu’avec Nos Sous-officiers, en 1890 » ; et j’ai eu peur de la hardiesse de ses opinions littéraires. […] Il s’intitule Cœur de France, est patriotique, dialogué, très dramatique ; il est signé Perrot d’Ablancourt, nom de mon aïeul maternel. […] Il me semble que nous sommes en plein dans une de ces sottises laborieusement combinées qu’on décore du nom ambitieux de situations dramatiques. […] Marni y est peu restée et n’y a publié aucun de ses savoureux dialogues, mais uniquement des critiques dramatiques fort médiocres. […] Depuis j’ai lu d’elle trois romans, et aussi des piécettes, et encore un drame ignoré de tous, même de mon ami Paul Peltier, le plus renseigné des critiques dramatiques.