En sortant des conférences auxquelles il a dû assister, il écrit à son amie : « Je l’ai souvent dit et je le répéterai souvent, les causes finales du commerce du monde et des hommes, c’est l’art dramatique. […] Parallèlement à ce premier conflit, un autre se développait dans l’âme du malheureux : moins élevé peut-être, celui-là, moins abstrait, mais plus humain, plus accessible, plus réellement dramatique, plus naturellement fécond en riches péripéties, en tableaux émouvants : si Tasse vécut dans une époque difficile, son milieu immédiat fut aussi le moins propice à son génie, le moins favorable à son caractère47. […] Goethe n’avait plus, sur l’art dramatique et ses interprètes, les fraîches illusions de sa jeunesse, qu’il rappelle avec tant de charme dans son Wilhelm Meister.