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8. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « LE COMTE XAVIER DE MAISTRE. » pp. 33-63

Une douce humeur y domine, moins marquée que dans Sterne, que plusieurs chapitres rappellent toutefois32 ; mais j’y verrais plutôt en général la grâce souriante et sensible de Charles Lamb. […] 35. « La lecture du Lépreux m’avait touchée, dit Mme Olympe Cottu dans sa préface ; j’en parlai à un ami auquel une longue et douce habitude me porte à confier toutes mes émotions ; je l’engageai à le lire. […] Cette réflexion est bien douce ! […] Les Prisonniers du Caucase, par la singularité des mœurs et des caractères si vivement exprimés, semblent déceler, dans ce talent d’ordinaire tout gracieux et doux, une faculté d’audace qui ne recule au besoin devant aucun trait de la réalité et de la nature, même la plus sauvage. […] D’un infortuné prisonnier Ils sont la dernière espérance : Les douces larmes de l’enfance Pourront attendrir mon geôlier.

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