Une strophe douce comme une fleur, se détache de son triste psaume, et tombe sur « les lits aux molles draperies, où les Persanes déplorent leurs noces récentes, et toutes les voluptés de la jeunesse à jamais perdues ». […] Elle apporte le lait d’une génisse sans tache, du miel, de l’eau puisée à une source vierge, « et cet enfant pur d’une mère agreste, joyeux délices de la vigne, et l’huile de la blonde olive, doux fruit de l’arbre qui ne se dépouille jamais de son feuillage ». […] Elle est restée dans les plaines que baignent l’Asopos, doux breuvage de la Béotie. […] Console-le par de douces paroles, il ne voudra écouter que toi.