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733. (1894) La bataille littéraire. Septième série (1893) pp. -307

. — Miel est le véritable mot, votre critique étant toujours douce. […] Le jeune prince avait, d’ailleurs, une obstination douce contre laquelle aucune autorité ne pouvait rien. […] Le sien n’exprimait pas le mépris, mais un étonnement ironique et chagrin, qui-ressemblait à une douce gronderie. […] Le Tsar est là tout entier : doux et fort, souriant et inébranlable. […] Le commandant des Anglais, un colonel Yeo, trouva que la peine était trop douce.

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