Chaque poème est le doux corps précis d’un sentiment unique. […] Et son trait chante son plaisir : il monte, il se déroule d’un seul jet, il empêche en se jouant tout autre d’être possible, il s’élance comme un doux cri parfait. […] Mais ceux en qui sa persuasion s’est insinuée, ont un plus doux privilège. […] Elle s’échappe, elle lâche son chant grêle et urgent ; déjà souffle sa douce haleine hâtive. […] L’âme ne sait pas encore démêler s’ils sont doux ou cruels.