Il le devait connaître à ses dépens ce « poteau », notre cher et doux Mallarmé. […] Il faisait beau ; le ciel était pur sur la douce campagne française, son lent fleuve, sa fière forêt. […] Lequel d’entre eux ne serait heureux de donner l’hospitalité au doux Gérard ? […] Il fait doux, il fait beau. […] Je me sens un doux besoin de solitude pour mieux goûter l’intime délice de Venise retrouvée.