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435. (1803) Littérature et critique pp. 133-288

Ô temps des plus douces espérances ! […] Son administration fut douce et ferme au-dedans, noble et prudente au dehors. […] Les vers de Tibulle retentissent doucement à l’oreille, comme les vents frais et les douces pluies de la saison qu’il décrit. […] Les Indiens ne manquèrent pas de se venir prendre au doux piège. […] On revoit ces chemins par où il avait passé, où la douce espérance le soutenait encore.

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