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417. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Poésies nouvelles de M. Alfred de Musset. (Bibliothèque Charpentier, 1850.) » pp. 294-310

Mais M. de Musset éprouva le contraire, et ce réveil du passé qu’on craignait pour lui et qu’il craignait lui-même, il nous dit comment il l’a trouvé plutôt consolant et doux. […] Et pourquoi, mes amis, me preniez-vous la main, Alors qu’une si douce et si vieille habitude               Me montrait ce chemin ? […] Je n’aurais jamais cru que l’on pût tant souffrir D’une telle blessure, et que sa cicatrice               Fût si douce à sentir.

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