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248. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

Ô doux ombrage ! […] tu étais belle autant qu’aimable, jeune autant que belle, douce autant que jeune. […] Une fille de l’harmonie (sweet harmonist, douce musicienne), qui est belle autant qu’aimable, jeune autant que belle, douce autant que jeune, gaie autant que douce, innocente autant que gaie. […] N’a-t-il pas connu jusqu’à ces doux regrets de la patrie ! […] Sa pensée elle-même a besoin d’une douce union pour devenir féconde.

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