L’orage se résout piteusement en un zéphyr tranquille et doux, qui trouble à peine la collerette de la jeune première. […] Nul, plus que Jules Noriac, n’a le droit de revendiquer cette devise d’une mélancolie si douce et si magnifique où, deux cents ans avant Jésus-Christ, un païen formulait le christianisme tout entier. […] Et je te répondais, suspendue à ton cou : Et moi, mon père, te recevrai-je vieillissant dans la douce hospitalité de ma maison, pour te rendre les soins qui m’ont nourrie ? […] rien n’est plus doux que de voir la lumière ! […] Il y a même un passage où l’auteur arrive à l’émotion par le tableau du désespoir de cette douce créature qui meurt de n’être plus aimée.