De doux refrains, le souffle des brises l’air s’épanche se rit des entraves, en blondes senteurs ; l’exil en vain de son sang ardent éclosent les a séparés ; des fleurs enivrantes, ils se saluent les bourgeons joyeux et ravis : éclatent vaincus. […] Son ferme et doux pouvoir Que sont, littérairement, les poèmes de Wagner ? […] » et ces paroles sont portées par une mélodie qui, sereine et douce, monte et plane sur quelques mesures, durant lesquelles l’angélique présence semble être divulguée à nos yeux. […] Ifs furent, sous la douce chaleur de leur ciel, le peuple de la pure dialectique.