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1147. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 juin 1886. »

De doux refrains,    le souffle des brises l’air s’épanche      se rit des entraves, en blondes senteurs ;     l’exil en vain de son sang ardent éclosent  les a séparés ; des fleurs enivrantes,    ils se saluent les bourgeons      joyeux et ravis : éclatent vaincus. […] Son ferme et doux pouvoir Que sont, littérairement, les poèmes de Wagner ? […] » et ces paroles sont portées par une mélodie qui, sereine et douce, monte et plane sur quelques mesures, durant lesquelles l’angélique présence semble être divulguée à nos yeux. […] Ifs furent, sous la douce chaleur de leur ciel, le peuple de la pure dialectique.

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