Même, j’approuve beaucoup dans ce drame le rôle de la douleur physique. […] Quant à la douleur morale, j’en fais mon affaire. » Ne vous scandalisez pas et ne le méprisez point. […] On y entend des cris d’indignation et des cris de douleur également injustifiés. […] » Tandis que Raphaël gémit, hurle, se tord de douleur, je me dis : « Voyons, voyons, qu’est-ce qu’il a encore, celui-là ? […] On peut imaginer une situation telle que la jalousie de l’amant atteigne au paroxysme de la rage et de la douleur.