Il a assisté à six ou sept représentations, a étudié le public, et me donne quelques renseignements curieux. […] Un moment avec Zola je cause de notre vie donnée aux lettres, donnée peut-être comme elle n’a été donnée par personne, à aucune époque, et nous nous avouons que nous avons été de vrais martyrs de la littérature, peut-être des foutues bêtes. […] — C’est vrai… Donnez-moi la canne à épée qui est là, et ouvrez tout doucement la porte. […] Et cela se donnait, cela se ramassait dans la rue, par qui voulait. […] Et ce Russe me racontait, qu’au dîner donné à Saint-Pétersbourg, et où le Shah donnait le bras à l’Impératrice de Russie, en se levant de table, il avait, un moment, marché le premier en tête, faisant semblant d’oublier la souveraine, pendant que l’Impératrice le suivait assez embarrassée.