En mesurant une œuvre, il se souvient de toutes celles qu’il a déjà mesurées : il porte en lui une sorte d’étalon immuable ; Il demeure le même en face des œuvres multiples qui lui sont soumises : et c’est pour cela que l’on comprend les raisons de tous ses jugements et qu’ils peuvent former un corps de doctrine. […] Weiss) ne trouvons-nous point, à défaut d’une doctrine dont je ne regrette nullement l’absence, des sentiments plus persistants que les autres, des préférences ou des antipathies particulièrement tenaces ?