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439. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (6e partie) » pp. 129-176

Purifier une doctrine populaire, c’est bien mieux que la combattre ; car ce qui manque au peuple, ce n’est jamais la force, c’est la vertu. […] Il ne lui restait qu’une ressource : c’était de s’offrir en exemple à la république, de dénoncer au monde les hommes qui corrompaient la liberté, de mourir en les combattant, et de léguer au peuple, sinon un gouvernement, au moins une doctrine et un martyr. […] Il tache de sang les plus pures doctrines.

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