Elle est toujours scénique ; elle se découpe par tranches, qui suivent le mouvement de la pensée du personnage, et qui règlent celui de la doctrine. […] Pour moi, je ne regrette pas de m’être arrêté si longtemps à un détail qui paraîtra sans doute de médiocre importance à quelques-uns de mes lecteurs, mais il s’agit là d’un point de doctrine, et vous savez que ce feuilleton se pique avant tout d’esthétique.