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653. (1908) Esquisses et souvenirs pp. 7-341

Lamartine hérite de cette poétique et l’anime d’un souffle divin. […] Le divin Chénier, né d’une mère grecque, se laissait aussi trop alanguir. […] n’est-ce pas, en vérité, que les sons de l’instrument divin raillent à présent ? […] Le goujon ne mordait plus, et la divine harmonie de Racine me paraissait insipide. […] Autour de toi, sur les monts divins, traînait une écharpe d’ombre veloutée.

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