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349. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre IV. Mme Émile de Girardin »

En effet, quoi de plus beau, même dans le talent le plus composé de facultés diverses, le plus brillant, le plus savant et le plus étonnant, que cet atome, céleste et mystérieux, qui manque souvent aux grands talents et que Mme de Staël, qui l’avait, appelait l’étincelle divine, — que ce rien qui est tout, qui se mêle à tout et qui fait qu’on est poëte ! Certes, quelle que soit la valeur, absolue ou relative, de ses œuvres poétiques, quels qu’en soient le faire et l’exécution, cette étincelle, cette pointe du diamant divin, Mme de Girardin l’avait !

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