Il la double, pour en faire le pain de notre intelligence, de la Parole divine, de la Révélation, de la Tradition catholique et de l’Histoire. […] Cette loi sublime, il la montre et la suit dans tous les phénomènes qu’ils appellent, eux, le mal de la vie : la faim, — tout commence par la faim, dit-il, — le travail, l’esclavage, les infirmités des organes, les maladies, la vieillesse, — dont il donne la raison divine, la raison suprême et rayonnante, — et enfin la mort, qui commence la grande vie. […] Son livre, qui traite de « la Douleur », et qui est plutôt un hymne à la douleur « regardée à la lueur des choses divines », n’explique pas que la douleur.