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18. (1857) Cours familier de littérature. IV « XXe entretien. Dante. Deuxième partie » pp. 81-160

Mais quel poète divin ! […] Minos, qui personnifie la justice divine, juge et châtie au cinquième chant les âmes coupables d’avoir cédé aux passions sensuelles. […] Divine réticence de ces cinq cœurs ! […] Passons aux deux autres poèmes de la Divine Comédie. […] Les olympes et les enfers d’Homère, de Virgile, de Milton, de Fénelon, n’ont ni une plus belle scène, ni une rencontre plus pathétique, ni un plus divin langage.

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