/ 1649
1499. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1871 » pp. 180-366

Il y a une grande ironie, une ironie divine, qui semble se plaire à faire mentir les programmes humains. […] Que de ce vil troupeau d’hommes et de femmes, il ne sorte pas une indignation, une colère qui atteste le sens dessus dessous des choses humaines et divines ! […] Elle s’appelle Divine : n’est-ce pas un joli nom de baptême pour un romancier ?

/ 1649