Entre Strasbourg et Besançon, pas une gazette ; « à Besançon, il n’y a que la Gazette de France, pour laquelle un homme qui a le sens commun ne donnerait pas un sou dans le moment actuel, et le Courrier militaire, vieux de quinze jours ; des gens bien mis parlent des choses qui sont arrivées il y a deux ou trois semaines, et leurs discours démontrent qu’ils ne savent rien de ce qui se passe aujourd’hui ». […] Voltaire, Politique et Législation, La voix du curé (à propos des serfs de Saint-Claude) Discours du duc d’Aiguillon, le 4 août 1789, à l’Assemblée nationale : « Les propriétaires des fiefs, des terres seigneuriales, ne sont que bien rarement coupables des excès dont se plaignent leurs vassaux ; mais leurs gens d’affaires sont souvent sans pitié. » 92. Beugnot, Mémoires, I, 136 Duc de Lévis, Souvenirs et portraits, 156 Moniteur, séance du 22 novembre 1872, Discours de M.