Son discours n’a rien de très remarquable, si ce n’est qu’il y prenait déjà formellement l’engagement de ne plus tomber dans ses erreurs littéraires. M. de La Chambre, qui le recevait, lui adressa un discours où se trouve le petit compliment suivant. Pour vous montrer la manière dont quelquefois ceux qui n’ont pas tout l’esprit qu’il faut avoir pour en avoir assez, parlent aux hommes de génie ; pour vous donner aussi l’idée d’un ton qui, certainement depuis, a complètement disparu des usages de l’Académie, je vous lirai le fragment suivant du discours de M. de La Chambre : « Ne comptez pour rien, monsieur, tout ce que vous avez fait par le passé.