» Et M. de Belloy, homme de goût, serait le premier à confesser qu’il a été dans un embarras inexprimable en présence de ces beautés simples et courantes où les liaisons surtout et les petits mots, les mille attaches du discours, sont si difficiles ou plutôt impossibles à rendre. […] Il y a dans le discours de Chrysis, traduit par M. de Belloy, un donc qui me gâte le naturel : Donc, ami, sur ta foi, par ta main que je serre, etc…, protège ma Glycère.