Mongin dans un de ses Discours académiques, « c’est là qu’on est étonné de voir dans un seul homme l’ame universelle de plusieurs Grands Hommes, l’ame du Guerrier, l’ame du Sage, du grand Magistrat & de l’habile Politique ; là il s’éleve, il change, il se multiplie, & prend toutes les formes différentes du mérite & de la vertu. […] Si ses Oraisons funebres & ses Sermons perdent beaucoup de leur mérite par une élégance trop compassée, on peut dire que ses Instructions Pastorales, ses Discours Synodaux, sont bien éloignés d’une pareille affectation.