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126. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXVI. Des oraisons funèbres et des éloges dans les premiers temps de la littérature française, depuis François Ier jusqu’à la fin du règne de Henri IV. »

Ils auraient pu, dans des siècles surtout où la religion avait tant d’autorité, faire de ces discours la consolation des peuples et la leçon des grands ; mais sans doute il faut que chez les hommes tout soit petit, corrompu et faible. […] Enfin, je citerai encore un de ces discours, dont l’exorde m’a paru aussi simple que touchant. […] Peut-être l’effet de ce discours ne se serait-il pas borné à une émotion passagère, peut-être par la suite aurait-il pu prévenir de nouvelles divisions et de nouveaux crimes. […] Malgré les défauts incroyables du mauvais goût, quelques-uns de ces discours attachent encore et intéressent par la force du sentiment qui y est répandu. […] Voyez la fin de l’éloge de Henri IV, par La Harpe, et l’estampe qui est à la tête du discours.

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