Nous le trouvons, au printemps de 1802, établi à la Maisonnette, dans le voisinage de Meulan, auprès de sa noble et digne amie, la belle madame de Condorcet. […] Qu’on nous pardonne ces développements dont il est bien digne. […] Dans le choix toujours si délicat d’une amitié littéraire, mon cœur et ma raison s’étaient heureusement trouvés d’accord pour m’attacher à l’un des hommes les plus aimables et les plus dignes d’une haute estime. […] De premiers et dignes hommages lui ont été payés sur sa tombe par M. […] Scène touchante, dont l’idée seule fait sourire, et qui était digne de ces esprits, de ces cœurs vraiment antiques et simples !