On vit donc, à côté et à la suite de dom Brial, ces dignes académiciens des Inscriptions et Belles-Lettres, Pastoret, Ginguené, Daunou, plus tard Fauriel et quelques autres, ceux d’aujourd’hui, M. […] Et il continue de badiner sur l’ami très médiocre et assez peu digne (un certain abbé de Linant), à qui il décerne ce dernier éloge.