Le proclamer à point pour le théâtre, le juger digne du genre supérieur, comment lui faire plus bel éloge ? […] Le théâtre a remplacé chez nous l’éloquence de la tribune ; il a transporté les conversations de salons sur la scène, mais jamais en aucune manière, il ne pourra avoir une influence directe sur le livre digne de ce nom. […] Cela tient d’abord à ce fait très simple que l’on n’écrit plus — ou presque jamais — de livres dignes de ce nom. […] Attendons avec patience que les écoliers d’aujourd’hui, devenus des hommes nouveaux, écrivent des livres dignes de ceux que l’on écrivait hier.