Que sont la plupart de ces Mémoires dont nous sommes à juste titre si fiers, sinon des matériaux tout trouvés pour le roman d’analyse, depuis ceux du cardinal de Retz jusqu’à ceux de Mme Roland, en passant par le livre de la Grande Mademoiselle, où se rencontre une histoire de la séduction de la princesse par Lauzun, digne des Liaisons dangereuses ? […] Rien de fini n’est vrai, n’est intéressant, n’est digne de me fixer.