Excepté l’adorable madame de Gasparin, cette protestante si digne d’être catholique à force de tendresse et de poésie dans la pensée, je ne vois là que des médiocrités pour lesquelles le ferme spiritualiste que ne cesse d’être Caro dans toute l’étendue de son volume est beaucoup trop bon, quand il s’agit de la juste appréciation du talent.