Ô perfections divines, dignes de l’éternel agenouillement des races ! […] Puisque donc la France n’avait pas eu d’instinct théâtral digne d’être réalisé en art, il était légitime et il fut heureux que notre Théâtre rejoignît, par-delà l’infécond moyen âge, le Théâtre antique, et en découlât. […] elle a ridé le front de tous les artistes dignes de ce nom. […] homme digne d’envie ! […] Francis Vielé-Griffin a érigé une œuvre considérable, vraiment digne d’estime par la noblesse de l’effort, par la pureté et la hauteur du songe.